The expatriate (2012) de Philipp Stölzl

Un ingénieur lambda qui se retrouve sans identité est dans la merde mais heureusement son passé d'agent de la CIA va bien lui être utile... Voilà un speech des plus basiques qui, en plus, va se coupler avec un scénario des moins original possible.

Une impression de déjà-vu qui devient presque désagréable tant le réalisateur fait montre d'aucun talent particulier. Quelques invraisemblances (ouvrir une porte blindée avec un trombone entre autres) et un style passe-partout en font un film qui mérite son direct-to-DVD. La gamine est trop forte (zen en quasi tout instant !) mais Aaron Eckart fait de son mieux mais c'est loin d'être suffisant. Ce film est un mixte entre "Sans identité" (2011) et "Ennemi d'état" (1998) mais les qualités en moins. Ca se laisse regarder, et même d'un oeil tant rien ne peut surprendre.

Note :