Décès de Pierre Vaneck
On a appris le décès de Pierre Vaneck ce 31 janvier 2010 suite à une opération du coeur qu'il n'a pas supporté.
Acteur belge né en 1931 il quitte Anvers pour des études de médecine à Paris. Il décide de s'inscrire aux cours d'art dramatique René Simon avant d'aller au Conservatoire. Il arrondit ses fins de mois en usine et dans des cabarets notamment en contant de la poésie. Il décroche son premier rôle non pas au cinéma mais au théâtre dans une adaptation de "Les 3 mousquetaires" en 1952. Il faudra attendre "Marianne de ma jeunesse" (1955) de Julien Duvivier pour se lancer dans le cinéma. Le succès de ce film (photo ci-dessous) lui vaut d'être classer dans les jeunes premiers de l'époque.
Il se lance alors dans des rôles plus difficiles, moins "belle gueule" comme dans "Pardonnez nos offenses" (1956) de Robert Hossein, "Celui qui doit mourir" (1956) de Jules Dassin ou "Une balle dans le canon" (1958) de Michel Deville.
Il apparait dans des films importants, "Un nommé La Rocca" (1961) de Jean Becker, "Paris brûle-t-il ?" (1966) de René Clément ou "La légion saute sur Kolwezi" (1980) de Raoul Coutard. Mais petit à petit il délaisse le grand écran pour la télévision mais surtout pour le théâtre.
Ses dernières apparitions à l'écran sont surtout "La science des rêves" (2006) de Michel Gondry et surtout dans "Deux jours à tuer" (2008) de Jean Becker où il est le père de Albert Dupontel.
Encore un grand acteur qui disparait, une autre gueule trop vite oubliée...
Acteur belge né en 1931 il quitte Anvers pour des études de médecine à Paris. Il décide de s'inscrire aux cours d'art dramatique René Simon avant d'aller au Conservatoire. Il arrondit ses fins de mois en usine et dans des cabarets notamment en contant de la poésie. Il décroche son premier rôle non pas au cinéma mais au théâtre dans une adaptation de "Les 3 mousquetaires" en 1952. Il faudra attendre "Marianne de ma jeunesse" (1955) de Julien Duvivier pour se lancer dans le cinéma. Le succès de ce film (photo ci-dessous) lui vaut d'être classer dans les jeunes premiers de l'époque.
Il se lance alors dans des rôles plus difficiles, moins "belle gueule" comme dans "Pardonnez nos offenses" (1956) de Robert Hossein, "Celui qui doit mourir" (1956) de Jules Dassin ou "Une balle dans le canon" (1958) de Michel Deville.
Il apparait dans des films importants, "Un nommé La Rocca" (1961) de Jean Becker, "Paris brûle-t-il ?" (1966) de René Clément ou "La légion saute sur Kolwezi" (1980) de Raoul Coutard. Mais petit à petit il délaisse le grand écran pour la télévision mais surtout pour le théâtre.
Ses dernières apparitions à l'écran sont surtout "La science des rêves" (2006) de Michel Gondry et surtout dans "Deux jours à tuer" (2008) de Jean Becker où il est le père de Albert Dupontel.
Encore un grand acteur qui disparait, une autre gueule trop vite oubliée...
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