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Tous les espoirs sont permis (2012) de David Frankel
Le réalisateur de "Marley et moi" et de "Le diable s'habille en Prada"s'attaque à la routine du couple qui tue le désir sexuel au fil des années. Une routine insidieuse, qui se faufile mine de rien... Emmené par un duo en pleine forme, si Meryl Styreep fait son job sans plusc'est bien Tommy Lee Jones qui surprend, non pas dans son rôle de bougon et grognon mais rien que pour sa présence dans uen comédie sentimentale.
Le scénario est cousu de fil blanc, on connait évidemment la fin et on se doute des quiproquos et des malentendus qui ne peuvent que découler d'une thérapie de couple pour ressusciter l'osmose sexuelle au sein du couple. La galanterie et/ou la démagogie veut que se soit la femme qui soit demandeuse (ouais on y croit !) et donc le mari est celui qui freine le désir conjugal. Le réalisateur ne réussit jamais à créer un véritable engouement. Malgré tout, si le film ne réinvente rien une chose est sûre c'est qu'on rit, les situations saugrenues, mais dont le fond est d'une justesse qui finit par faire mouche. En bonus 2-3 scène sparticulièrement réjouissantes. Une comédie calibrée mais parfaitement calibrée ; le job est fait.
Note : 
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