Tueurs en série en 30 films : Partie 1
M le maudit" (1931) de Fritz Lang... A Dusseldorf, en Allemagne un tueur sadique s'en prend à des fillettes. Tandis que la police patauge la pègre décide d'enquêter aussi et de trouver le "Vampirede Dusseldorf".
Premier film parlant de Fritz Lang d'après un faits divers réél qui se serait dérouler en 1913. Le véritable tueur s'attaquait aussi bien aux fillettes qu'aux femmes et aux hommes.
Note film : Note perversité/psy :
"Monsieur Verdoux" (1947) de Charles Chaplin... En 1929 un employé de banque respectable se retrouve au chômage eaprès 1929. Bon père et époux il décide de séduire de riches veuves pour subvenir à ses besoins.
Idée originale qui fut proposer à Chaplin par Orson Welles ! Ce film est le premier film de Chaplin sans charlot excepté et son premier échec.
Note film : Note perversité/psy :
"L'auberge rouge" (1951) de Claude Autant-Lara... En 1833 un groupe de voyageurs passe la nuit dans une auberge isolée. Très vite le moine du groupe soupçonne les aubergistes d'être des tueurs qui dépouillent leurs clients.
Note film : Note perversité/psy :
"Psychose" (1960) de Alfred Hitchcock... Marion Crane se sauve avec 40000 dollars et arrive dans un petit motel que tient Norman Bates. Quelques temps après, ayant plus de nouvelles de sa soeur Lila appelle Sam Loomis (amant de Marion) et partent à sa recherche, ils arrivent à leur tour au motel.
S'il s'agit d'une adpatation littéraire Hitchcock avoue aussi que l'idée part d'un fait divers avéré ; Ed Gein a tué deux femmes, il gardait leur tête et s'était servi de leur peau pour créer des abats-jour tandisq u'il gardait intact la chambre de samère décédée depuis 12 ans.
Note film : Note perversité/psy :
"Le voyeur" (1960) de Michael Powell... Mark Lewis est opérateur sur des plateaux de tournage. Solitaire il fait aussi des photos de charme. Toujours armé de sa caméra il fait croire qu'il tourne un documentaire mais à des fins beaucoup plus morbides.
Réalisé par le réalisateur des "Chaussons rouges" mais cette fois-ci sans son compère Frédéric Pressburger. Cxe film fit scandale de par sa violence et signa le déclin de Michael Powell. On peut dire que ce film est le premier snuff-movie du cinéma.
Note film : Note perversité/psy :
"L'étrangleur de Boston" (1968) de Richard Fleischer... A Boston entre 1962 et 1964 plusieurs femmes sont retrouvées étranglées. L'enquête piétine jusqu'à cejour où un modeste ouvrier est arrêté pour effraction dans un domicile...
Le film relate l'affaire de Albert DeSalvo qui aurait tué 13 femmes entre 62 et 64 à Boston. Etrange affaire puisqu'il fut déclaré psychologiuquement instable mais fut condamné à perpétuité pour vols et viols en échange de ses aveux. A priori il s'agirait peut-être d'une erreur judiciaire. On ne saura plus jamais, Albert DeSlavo fut assassiné en prison en 1973.
Note film : Note perversité/psy :
"Le juge et l'assassin" (1976) de Bertrand Tavernier... En 1893 Joseph Bouvier est enfermé à l'asile après avoir tué sa fiancée qui voulait le quitter. Après sa libération il devient un vagabond violant et égorgeant dans la campagne adréchoise. Arrêté un juge fait tout son possible pour le condamner à mort, ne croyant pas à une folie.
D'après une célèbre affaire, Jospeh Vacher aurait tué une vingtaine de personnes. Considéré par les criminologues comme le "Jack l'éventreur" français.
Note film : Note perversité/psy :
"Jack l'éventreur" (1976) de Jesus Franco... Médecin respceté le jour le docteur Orloff devient un mosntre sanguinaire la nuit. Pour se venger d'une mère abusive il assassine sauvagement des prostituée de Whitchapel.
Peu fidèle à la célèbre affaire Franco nomme son coupable en hommage à son film le plus célèbre tandis que le scénario fait de Jack l'éventreur un Jekyll and Hyde.
Note film : Note perversité/psy :
"Maniac" (1980) de William Lustig... Après une enfance diffidile auprès d'un mère abusive un psychopathe agresse des femmes en scalpant ses victimes.
Film censuré dans de nombreux pays à cause de sa violence et de l'atmosphère particulièrement poisseuse.
Note film : Note perversité/psy :
"Les fantômes du chapelier" (1982) de Claude Chabrol... Léon Labbé, chapelier de son métier, entretient l'illusion que sa femme (qu'il a tué) est toujours envie. Tandis que son voisin, un tailleur juif tue avec méthode les amies de son épouse et nargue la police avec des lettres anonymes.
D'après un roman de Simenon. Un grand film.
Note film : Note perversité/psy :